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Les Piafs de Beaurepaire s'envolent

3 juin 2006

un nouveau...

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3 juin 2006

copain...

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29 mai 2006

pour Delf

Salut Delf c'est Kevin Blanchard j'espère que tu vas bien ? Moi, la forme on a trouvé un chaton tout gris avec les pattes blanches, on l'a récuperé dans une rivière à sec. Je t'écris aussi pour le théatre le 6 juin à beaurepaire si tu ne veux pas se n'est pas grâve de toute façon Philippe connaît la route tu ne serras pas perdu enfin, je pense.

GROSSES BISES à TOUS !!!!!!!                          Kevinounet

26 mai 2006

vies partagées

Merci à toutes et tous de venir nous rendre visite,
De la France à l'Egypte,
Des Etats Unis à la Belgique,
De la Grèce au Maroc...
Que ce blog vive pour ces jeunes,
Par vous tous,
Pour nous tous,
La vie n'est belle que si elle est partagée.

YO !

26 mai 2006

merci Catherine..

Merci de m'avoir aidé à corriger mes "fôtes d'orthographe et de grammaire" lors de la rédaction du bilan.
ça aide le travail d' équipe !
Phil.

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18 mai 2006

coup de chapeau

A ces cinq jeunes gens avec qui nous avons partagé une véritable randonnée urbaine.
La voiture posée dès le premier jour n'est sortie du garage que pour repartir, nous n'avons pris le bus qu'une seule fois, et avons marché, marché, marché...
Donc bravo pour le courage dont ils ont fait preuve, ils sont allés très loin à l'interieur d'eux même, chercher la force qu'ils ne soupçonnaient pas.
Ils ont fait preuve d'intelligence devant l'inconnu et la crainte des inconnus.
Ils se sont soudés,alors qu'ils ont plutôt l'habitude de d'abord penser à eux même, à s'isoler...finalement impuissants.

UNIDO.

Ils ont compris que l'on peut tout faire si l'on est attentif, à l'écoute de l'autre, ce compagnon de route
Ils ont compris que pour exister il nous faut l'autre, ce compagnon de vie.
Enfin ils nous ont surpris, un peu plus chaque jour, jusqu'au dernier de ce transfert.
Et cela, pour des éducs, c'est ce qu'il y a de meilleur.

18 mai 2006

bilan

Mon transfert à Barcelone

Le Bilan

"Qui veut du respect va s'en quérir"


Cette phrase est un point de départ, un sujet qui nous a amené à  réfléchir sur

l' investissement des jeunes dans la création d'un projet dont ils seraient les principaux bénéficiaires.
De fait, l'institution et les différentes équipes disposeraient d'outils suplémentaires concernant la reconnaissance des dits - jeunes.

Ce que l'on peut déjà présenter comme intéressant, c'est que dans les semaines précédant le départ, il n'y a pas eu de place pour le fantasme d' un déplacement à l'étranger, quelques petites angoisses...

Directement impliqués dans la réflexion même de ce transfert, ils savaient aussi que celui - ci pouvait ne pas être accepté...
ce groupe l'a accepté et la motivation que les jeunes avaient était à la hauteur de leur compréhension d'un éventuel refus.

Certains on fait des recherches sur des thèmes précis en vue d'un entretien au consulat de France où nous avions rendez-vous le lendemain de notre arrivée, d'autres nous ont fait le planning sur une page, de notre semaine de voyage, de façon à voir en un clin d'oeil, ce que l'on cherche,
un autre nous a aidé au travers des maths, à faire le budget prévisionnel,

Ces longs moments de travail d'équipe n'auraient pas été possibles sans regrouper les qualités de chacun en un mouvement d'ensemble et de solidarité; les deux autres membres s'occupaient quand à eux, de nous nourrir.

Intérressés par le déroulement des étapes, inquiets quand les papiers tardent....

Très vite ce groupe de jeunes a compris qu'il fallait commencer à réfléchir et agir en équipe, avec une volonté commune.

Sans eux et une participation active de leur part, il n'y a rien de possible,

c'est ce travail et nos efforts pour l'accomplir qui vont nous permettre de vivre ensemble, ailleurs, de bons moments.

Tous ces messages ont été entendus et adoptés très rapidement pour la plupart des membres concernés.

Pour certains, l'idée de partir  et qui plus est, à l'étranger était une épreuve un peu complexe.

Le voyage commençait le dimanche 23 au matin, mais le transfert proprement dit démarra le samedi après midi afin de finaliser la "mise en sacs" et autre rangement.

Les jeunes déjà motivés par les collègues et poussés par ce désir de partir avaient déjà fait le plus gros du travail.
Il ne nous restait qu'à aller chercher le véhicule et se préparer...
Le soir comme prévu, tout était propre dans les pièces communes et les chambres, suivant les personnalités, l'étaient aussi.

Le matin fut énérgique, pas une seconde de perdue, mais en musique.

Ce transfert était aussi une occasion de leur faire découvrir et donc, accepter, qu'il se fait d' autres choses que le rap dans l'art musical...Nous avons donc commencé avec Yves Jamait.


Cette introduction met exactement en avant, l'état d'esprit qui rèignait au sein de ce groupe.
Concerné très rapidement par cette histoire, la faisant sienne.

Se présentait alors un séjour où tout allait se dérouler "comme sur des roulettes",
où chaque rendez - vous était honoré à l'heure précise, voir avec quelques minutes d'avance.

Chaque passage du groupe a laissé des compliments sur le comportement général et individuel, la propreté laissée dans les lieux que nous avons occupés est la preuve d'un investissement personnel des uns et des autres, au bénéfice de l'équipe.

Ces efforts personnels fournis comme un don de soi, vers l'autre...
Ces comportements qui changent en fonction de ce qui a été soulevé la veille.

Mais tout ceci s'est travaillé, petit à petit au moyen d' un outil simple mais redoutablement efficace suivant ce qu'on y met, découvert lors d'un passage "au Colombier"
(autre structure de l'association) et que l'on appelle
"Le Cercle".

Pour ce transfert et suivant ce que nous avons voulu mettre dedans, ce Cercle n'est pas un espace de dialogue, mais un espace d'écoute, un endroit où l'on peut "se lâcher"

parce que dans le cercle...

- Nous sommes tous, des hommes et des femmes LIBRES
- ce qui se dit dans le cercle reste dans le cercle

- On ne coupe pas la parole.

- On peut aborder  n'importe quel sujet.

- Il n'y a pas de jugement.

- pas de critique.

- pas de règlement de compte après le cercle.

- C'est un espace de liberté.

Après avoir expliqué aux jeunes les bienfaits d'un tel outil, nous leur avons proposé de l'adopter, et bien ils se le sont accaparé et ont compris à quel point il pouvait être très utile dans la gestion de leur quotidien, tant à Barcelone qu'à Beaurepaire.

Nous avons pu observer à quel point ils s'en servaient, la parole étant libre et l'écoute volontaire, les résultats ne pouvaient qu'être surprenants.

Ils le furent.

Nous nous exprimions librement sur ce que nous avions aimé, pas aimé, ce qui nous avait gêné ou de ce que nous voulions qui change...
Parfois, les demandes devenaient nominatives et ne pouvaient par conséquent et, décemment, être refusées par le (la) destinataire.
A d'autres moments la parole prise, servait à "se vider" à se libérer.
Le ou la jeune sachant qu'il était écouté et entendu, qu'il ne serait pas critiqué ni jugé, ayant bien compris que ce qui se dit dans le cercle reste dans le cercle, n'avait pas de problème à s'exprimer.

Nous sommes allés de surprises en surprises.

Le 26 avril.
Apres cette traversée Française de Beaurepaire à Toulouse (elle fut longue, mais, comme nous l´espérions pas du tout fatiguante du fait d'avoir choisi cet itinéraire "multi-etapes") nous voila à Barcelone.
Nous n´avons pas pu profiter pleinement de la ville rose,si ce n´est que de voir sa beauté, sa
vie et son peuple.....Nocturne.

A noter que sans avoir les yeux sur la montre et le pied
(de Maryse) sur l´accélérateur, nous sommes arrivés á l´heure dite...

Pas encore en Espagne et déjà au rythme...tranquilo.

Il en fut de même pour l´arrivée dans la capitale Catalane, dix minutes d´avance sur l´heure de rendez - vous devant el piso (l´apart)

un piso fantastico soit dit en passant.

La traversée des pyrénnées fut un moment magique, un peu trops de virages peut-etre...

Le premier repas Catalan, à Puygcerda, était énorme et l´accueil très chaleureux, très drole aussi de se retrouver comme étant "l´étranger", de constater la tolérence des gens à votre égard quand vous ne comprenez rien, ou pas grand chose de ce qui se dit.

Ce matin, nous avons été acceuillis comme des personnes importantes (que nous sommes à ses yeux) par monsieur Valero, consul général de France á Barcelone. Nous l´avons écouté nous expliquer les missions et les devoirs du personnel du consulat envers les Français d´Espagne, mais aussi la façon de vivre des Barcelonnais, la culture de cette ville, de cette région.

Ce groupe va bien,les jeunes sont attentifs, éblouis par cette ville, surpris et en même temps impressionnés, ce qui est notre cas aussi, il faut dire qu´autant de démesure vous laisse...comme ça.

Nous pouvons dire que tout ce séjour s'est déroulé de la sorte.
Ce fut une véritable randonnée urbaine, marchant du matin au soir parfois dans la douleur, ces jeunes ont trouvé au fond d'eux quelque chose qui les a poussés à "encaisser" à dépasser les limites qu'ils pensaient être les dernières.

Ensemble, ils ont affronté les difficultés que nous croisions.
Celles liées à la barrière du langage comme celles, plus personnelles, de la gestion mentale de l'appréhension de la découverte, de la douleur physique.
Tantôt en ralant, tantôt en faisant les rigolos, en craquant parfois, par exemple, ce jour ou voyant une belle fontaine avec un jet magnifique et n'en pouvant plus, se jetant dedans...

Parfois les "programmes" du jour étaient remaniés en cours de journée, mais jamais nous n'intervenions en tant qu'adultes responsables de ce groupe pour décider.
Ceci se faisait toujours lors de discussions improvisées, à l'endroit même où nous étions.
La solution a toujours été trouvée rapidement et personne ne s'est jamais senti lésé.


Le 27 avril

Grande soirée en perspective pour les Barcelonnais d'un moment que nous sommes.

Le FC BARCELONE joue sa place en finale de coupe d´europe  de football contre les italiens du MILAN AC.
Nous serons au millieu de cette foule, non pas dans le stade, mais surement sur
LAS RAMBLAS, sur une place ou dans un café pour vivre de l´intérieur cet évènement.
Nous rentrerons surement fatigués demain matin, Catalans, quoi !
On vous racontera cela plus tard, pour le moment, nous y allons.

Adios.

En fait de ballade, c´est une véritable randonnée que nous faisons chaque jour.
tout à pied, des kilomètres par jour et avec le sourire, même si parfois il est un peu crispé...
ces jeunes on vraiment l´envie et dépassent leurs limites.

ENCORE !
On vous embrasse tous et toutes, demain, direction Béziers et le salagou...
Encore de la rando, encore du bonheur

Ce groupe nous a vraiment surpris, leurs petites habitudes du quotidien isérois avaient explosé, les alliances habituelles n'avaient pas lieux d'être, attentifs l'un à l'autre, à l'écoute et tolérants, l'attention avait pris le pas sur la méfiance.

Ils ont bénéficié de ce séjour autant qu'il était possible de le faire, et garderont un souvenir certes, mais surtout des bases solides qu'ils ont découvert, qu'ils ont su chercher et trouver.

Il nous faudra tout faire pour qu'ils les conservent,

Au cours de cette aventure, qui les a obligés à aller puiser au fond d'eux mêmes des ressources inconnues, ils ont su et accepté de s'éffacer un peu pour laisser de l'espace à l'autre, ce compagnon de route.

Cotoyer la différence n'est pas toujours chose facile,
l'accepter est toujours enrichissant.

Ils ont compris et accepté que ce transfert ne serait pas l'occasion de dépenser sans compter, bien au contraire, régulièrement nous étions assistés dans la (bonne) tenue des comptes, parfois des choix furent faits en fonction de leur réflexion par rapport à l'argent (et à la peur d'en manquer).

Ce fut un vrai bonheur de remarquer qu'ils ne sont pas automatiquement dans une relation liée à la consommation, qu'ils ont aussi des centres d'intérêts divers, variés et pas toujours payants...
Ce voyage leur a apporté aussi, une certaine idée (et une idée certaine) de ce qu'est et à quoi sert la solidarité.
La vie est tellement plus simple quand on se partage les tâches, lorsqu'on s'entraide, sans jugement, sans rien attendre en retour...


1


Sur un pied, on ne peut faire grand chose....
Mais si l'on unit ces pieds,  alors on peut faire de grandes choses.


Nous avons voulu aller plus loin en proposant un diaporama de ce transfert à nos collègues, aux autres jeunes du Nid et à toute personne de l'association désirant partager ce moment en notre compagnie.

Nous avons mis en ligne le blog de notre transfert, sorte de journal de bord de notre voyage, où différentes informations, les impressions laissées, les photos cotoient les messages de personnes aussi diverses que variées suivant nos périples au travers de ce blog.

Cet outil mis en place à l'occasion de ce transfert, permet aux jeunes et aux équipes d'accéder à un autre mode de "liberation de la parole" tout en en gardant le cadre et donc gardant une certaine forme de contrôle sur le contenu et le sens.

Il peut rendre de grands services et ne demande qu'à être " gardé en vie".

Le sentiment "d'être"  qu'ont les jeunes se découvrant sur l'écran, ayant la possibilité de voir que des gens viennent suivre leurs aventures depuis les Etats Unis ou le Canada est pour eux quelques chose de grandiose et nous pensons tenir là une occasion de travailler plus précisément au contact du jeune au moyen nouveau, de l'informatique.


12 mai 2006

Transfert à Barcelone Cinq jeunes - deux

Transfert à Barcelone

Cinq jeunes - deux éducateurs

Départ le Dimanche 23 Avril au matin.

Retour le Dimanche 30 Avril au soir.


Pourquoi ?

Nous voulions avant tout que ce voyage ne soit pas perçu par les jeunes comme étant des vacances au sens "consommation" du terme.

Il nous aurait été possible de nous rendre directement à Barcelone, d'y passer une bonne semaine et de rentrer...mais cela n'aurait pas servi à grand chose dans le cadre éducatif que nous voulions nous fixer, celui-ci faisant que ce voyage ne s'appellerait pas un camp mais un transfert, car transférant exactement ce qui fait notre quotidien sur la structure de Beaurepaire, en un autre lieu, amènageant le quotidien en fonction de l'environnement....


Barcelone...

Il nous paraîssait intéressant d'être dans les mêmes conditions, face aux mêmes difficultés
que ce groupe de jeunes lors de ce transfert.

Changer d'environnement est déjà déstabilisant....

Nous avons donc imaginé ne pas être "les éducs qui emmènent des jeunes à l' étranger", mais plutôt une véritable équipe au sein de laquelle tout ce discute, les projets autant que les difficultés, les joies autant que les peines.

La direction était décidée: ce serait vers l'Espagne que nous irions.

Mais comment aller en Espagne sans aller à ...Barcelone ?

Nous ne parlons pas l'Espagnol, encore moins le Catalan.

Nous n'avons jamais mis les pieds dans cette ville, mais sa réputation et les recherches que nous avons faites dessus nous laissent penser que ce serait un "terrain" formidable pour observer de quelle façon les jeunes se comportent et abordent l'inconnu, au millieu de gens qui nont pas les mêmes "façons de faire"  que chez eux.

Etre l'étranger...


Désireux d'être plongés dans le réel du quotidien Barcelonais, nous avons opté pour la location d'un appartement en centre ville plutôt que des bungalows à quarante kilomètres de la ville.

Cette expérience, bonne pour le groupe de jeunes le serait pour nous aussi ?
Alors c'est une bonne idée.
Le lieu était fixé, comment y aller ?

C'est ainsi que tout ou presque, commença; ensemble, il nous fallait réfléchir.

Comment ?
Combien de temps ?
Combien cela peut coûter ?

Le voyage...

Celui-ci ne sera pas "le fardeau" habituel de tout départ, il fait partie intégrante de ce transfert. Il est volontairement coupé sur deux jours pour l'aller et autant pour le retour.

N'empruntant que les nationales et départementales et refusant les autoroutes, ces réflexions nous permettaient aussi, de restreindre le budget carburant, péages et surtout, il correspondait au mieux à ce que nous recherchions....

des moments de sérénité, loin de " l' hyperactivité " dans laquelle nous évoluons tous, tout au long de l'année.

Ce voyage comportera donc des étapes.

Jalonné de pauses liées à des objectifs de découvertes, d'enrichissement personnel et de bien être, il devrait certes, être un peu long mais beaucoup plus vivable pour chacun d'entre nous.

" Tiens c'est joli ici...d'accord, on se pose cinq minutes"

C'est ainsi que les chose étaient vues.

En des lieux tels que Le Puy en Velay, Mende, Albi, Toulouse, Beziers, Millau et bien sur Barcelone, nous aurons un rendez-vous avec l'histoire.

Ce ne sera donc plus un trajet, mais un véritable voyage que l'on vit à chaque moment, en chaque lieu....à son rythme.

Celui-ci commencera donc le Dimanche 23 Avril au matin, lorsque chacun aura fait ce qu'il faut faire avant tout départ,......

Un peu de ménage.

C'est comme cela que la veille, tranquillement, nous avons tout préparé.
Sans stress, dans la bonne humeur nous avons pu, toujours ensemble, décider de quelques bases du savoir vivre ensemble...du partage et du don de soi à l'autre, ce compagnon de route.

Les pauses du voyage "aller"

Sur deux jours de voyage, une pause s'impose,
nous passerons la nuit à Toulouse

- Beaurepaire
- Annonay
- Le Puy en Velay
- Pradelles
- Mende
- Séverac le Château
- Rodez
- Albi
- Toulouse
- Foix
- Font Romeu
- Puigcerda
- Berga
- Manresa
- Terrassa
- Barcelone

Les pauses du voyage "retour"

Deux jours de voyage, une pause, nous passerons la nuit à Salasc,
petit village des bords du lac Salagou
( languedoc roussillon)

- Barcelone
- Gérone
- Figuéras
- Perpignan
- Narbonne
- Beziers
- Salasc
- Mourèze
- Millau
- Florac
- Aubenas
- Privas
- Valence
- Beaurepaire


L'arrivée...

Celle-ci se fera dans une ambiance aussi décontractée et exigeante que pour le départ, la fatigue en plus.

Néanmoins, l'investissement demandé aux jeunes pour "le remballage" sera le même qu'au début de ce transfert et nous pourrons ainsi, clore cette aventure autour d'une table et dans la bonne humeur.
Nous irons nous coucher quand chacun d'entre nous aura fait,
ce qui doit être fait au retour de chaque voyage,

Ranger ses affaires...

5 mai 2006

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4 mai 2006

MONTJUICH

Seraient - ce les âmes des oposants politiques torturés dans la citadelle qui rendraient cet endroit, dont le chemin te menait à la mort, en une place paisible, agréable.
Ironie ?
Curieux.

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